Au début, on improvise. On pense bien faire. On avance à tâtons, entre:
les emplois du temps qui changent,
les au revoir trop rapides,
les retrouvailles trop chargées.
Mais parfois, sans le vouloir, on crée de la distance, on déclenche des blessures:
Pas par manque d’amour.
Pas par négligence.
Mais parce que cette vie ne s’apprend nulle part.